Réédition Et Correction De « Premier Article, Anciens Souvenirs »
Réédition et correction de « Premier article, anciens souvenirs
» . Comme convenu, je réinstalle mes anciens récits (nouveau pseudo).
Je suis brun, 1,72 m pour 62 kg, très athlétique, avec un fessier, paraît-il très sexy...
Je me présenterai physiquement un peu mieux une prochaine fois. Ce soir, je vous raconte juste un de mes meilleurs souvenirs.
Il y a quelque temps, je vivais dans une petite ville de province, au centre de la France. Il y avait là un lac artificiel, avec des toilettes publiques et un petit bois à côté.
Ce lieu était et reste un endroit de fornication homo, et Bisex, même si depuis, les toilettes ont été détruites.
Je my rendais souvent après la débauche pour tailler deux, trois pipes, et me faire ramoner.
Jadorais le plaisir de la baise rapide, lidée de vider les couilles de ces mecs qui sortaient du boulot et venaient se défouler sexuellement dans ce lieu. Jy ai pris des kilomètres de sexe, et des litres de foutre. Il marrivait même de my travestir, une perruque, des bas, une guêpière, des faux seins (mais chut, ceci fait partie des choses que jaurai à vous conter). Jy ai aussi rencontré des couples
Ce soir-là, un soir dhiver relativement froid, je my arrêtais, et filais direct aux pissotières.
(Passage au présent volontaire, cela facilite lécriture)
Je minstalle devant une pissotière, baisse mon jogging, et attends. Deux, trois mecs mayant repéré, me suivent. Cest la routine, peu de temps dobservation, ici on sait pourquoi on se promène à une heure du matin.
Je patiente tout juste une petite minute, que lun deux se place derrière moi, enfile une capote, et commence à appuyer sur ma rondelle. Petit calibre, il me pénètre sans problème, et commence à me limer. Je pose les mains sur la faïence, resserre mes jambes, histoire de mieux le sentir me limer. Il palpe mes seins, saccroche à mon cul.
Il part
me laissant dégoulinant de foutre.
Je me retourne, pensant partir aussi, et me retrouve face à trois bites bien droites. Je me penche et att la plus proche, épaisse, courte et bien dure. Il bouge dans ma bouche, sans violence, mais sûrement. Je palpe ses couilles, et caresse ses fesses, appuyant dessus pour lencourager. Un des deux autres passe derrière moi et me lèche la raie. Puis, il menfile, me lime sans ménagement, il ne peine pas, tellement je suis déjà humide de mon premier amant. Il ressort et vient éjaculer dans ma bouche. Javale, en crache une partie sur le sol. Celui que je suçais prend sa place dans mon cul, me lime aussi très fort et éjacule dans mon fondement. Il ressort et vient me présenter sa bite flasque dans la bouche. Le troisième que je suçais laisse la place et file menculer. Pendant que je nettoie la seconde bite, il me ramone et me traite de pute, de salope, de garage à bites
Il commente mon cul, disant quil est bien petit, comme celui de sa femme, mais bien plus ouvert
Jéjacule sans me toucher
Mon sperme coule en partie sur mes jambes. Je suis en sueur, mon cul ouvert, et mon corps ballotté sous les coups de boutoir. Et dire quil fait moins de zéro degré à lextérieur. Ici, on dirait la back room dun sauna homo. Le gars poursuit son travail, tout en continuant de copieusement minsulter : « tu aimes ça, hein, chiennasse
tu aimes servir de pute
te faire défoncer comme une bonne bourgeoise ». Je réponds des « oui!!! » de femelle comblée. Puis, je commence à geindre, rendant ma voix aiguë, comme celle dune gonzesse.
« Putain tes bonne ! Vas-y, gueule, je vais tinonder ton cul de pouffiasse
» Je lui obéis, criant plus fort encore mes « oui » de plaisir.
Il me défonce littéralement et se vide sur mes fesses, en longs et grands jets de foutre. Cest chaud, brûlant même.
Je messuie comme je peux, dégoulinant de sperme. Je marche rapidement à ma voiture
Un mec me file au train, avant douvrir ma portière, je me retourne. Pas un mot, je lui roule une pelle, passe à lavant de la voiture, il baisse mon pantalon, me couche, dos sur le capot moteur. Je lève les jambes, et il sintroduit dans ma petite chatte. Une position que jadore, les jambes sur les épaules de mon baiseur, bien pris, sentant parfaitement le sexe dans mon conduit. Il en arrive à me faire bander.
Il ne lui faudra que quelques instants, que quelques mouvements bien saccadés pour jouir dans mon cul
Je me redresse, récupère des Kleenex, et à nouveau excité, je décide de retourner faire un tour dans les pissotières, de retourner dans labattoir
La place est déjà prise. Je referme la porte. La température semble élevée, par rapport à la rigueur de lhiver.
Au centre des toilettes, un jeune est entouré de six hommes. Comme moi tout à lheure, il se fait démonter la bouche et le fondement. Lui est en jean et col roulé. Son pantalon est sur ses chevilles, et ses baiseurs ont fait passer le pull sur son dos. Il a le torse à lair, il bande joliment et ses seins pointent de belle manière.
Les autres mecs sont plus vieux, pas des beaux gosses, mais ils bandent tous. Par contre tout se passe en silence. Juste des bruits de succion, des cuisses qui claquent sur les fesses.
Je bande, moi aussi, comme un fou. Je descends mon survêtement et commence à me branler en jouant les voyeurs. Puis, je passe à laction. Je touche le cul de la douce salope
Il est assez large, mais imberbe. Jai une vue incroyable sur la pine qui le lime. La colonne qui entre et sort me rend dingue. Jai encore envie.
Je chope une bite libre et commence à la branler. Puis rapidement, je suce. Le mec se laisse faire, je maccroupis pour être plus à laise. Tout se passe très vite, mais personne ne me touche le cul.
La pièce se vide. Mais la ptite pute reste en place. Je me pose sur son anus explosé et lenfile sans un mot. Nétant pas ment actif avec les mecs, je prends mon temps, savourant la rareté du moment. Japprécie ma queue qui coulisse dans son cratère.
Un homme rentre, il se place devant, sort sa bite et se fait mettre en forme. Son sexe est très gros, notamment son gland et le début de la hampe.
Il passe derrière moi et tente de me prendre. La position est complexe, mais notre excitation commune lemporte. Il sintroduit, et mène la danse.
Il arrive à sintroduire plus loin à chaque coup. Jexulte ! La femelle que je baise maintient une pression constante sur mes cuisses, de ce fait je nai pas besoin de bouger, jai juste à suivre le rythme !
Puis, je latt par les épaules et me vide en deux, trois mouvements dans son cul. Le troisième poursuit son uvre, puis se retire, il magenouille et balance des rasades de sperme sur mon visage. Mon passif, lui, sactive au-dessus de mon visage et se vide dans ma bouche.
On se relève, se rhabille, puis le dernier à partir me roule une méga pelle et disparaît.
Cela reste un de mes meilleurs plans « bareback. » Depuis jai discrètement fait les tests HIV. Rien ! Mais depuis, je reproduis ce genre de plans, notamment en sauna (maintenant que je suis sur Paris), mais avec capotes
Bon daccord, javale encore quelques rasades
.
Mais ceci est une autre histoire, que je vous raconterai prochainement.
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